mercredi 18 août 2010

Rétro-gaming : la belle histoire des émulateurs de consoles

Bon alors le seul remède pour un blog qui se dessèche, c'est de l'arroser avec un billet hein ? Puisque c'est comme ça, pour la peine j'va  vous causer des émulateurs maintenant. J'vous ai bien raconté ma vie de gamer à la retraite (pas tout à fait) avec mes vieux coucous, j'vais maintenant vous raconter comment cette merveilleuse invention qu'on appelle les émulateurs m'a permis d'une part de retrouver tous mes vieux jeux sur mon cromi, et d'autre part de découvrir tous ceux qui m'avaient échapé jusque là. L'histoire commence à peu près là ou s'arrête la fin du dernier billet. Nan, un peu après, bref on s'en fout t'manières.


Pour faire rapide, pour ceux qui savent pas ce que c'est, un émulateur c'est un programme qui est une machine virtuelle d'un autre ordinateur, et qui permet par exemple au PC de se comporter comme une SegaMegadrive ou une playstation. Pour les geeks, c'est une VM pour les jeux :)

Mais revenons au pourquoi du comment du parceque : quand j'ai découvert FinalFantasy VII (l'inégalé, l'inégalable), j'ai eu envie découvrir ceusses d'avant, qui étaient sortis sur la Super Nintendo. En cherchant sur AltaVista (qui était bien, avant d'être tué par Gou-gueule), j'ai trouvé non seulement des descriptifs des prédécesseurs, mais aussi des versions converties en fichiers binaires de toutes les cartouches, mais aussi des émulateurs capables de les exécuter sur un bête PC. Oulalalala. Mauvais pour ma productivité au travail ça ! J'ai donc commencé à collectionner les ROMs (non n'appelez par Hortefeux c'est pas les mêmes) de toutes consoles, et les émulateurs ad-hoc. C'était le début d'une quête sans fin qui allait m'occuper méchamment pendant... Allez quatre ou cinq ans ? Pas mal quoi... Tous les quinze jours, je faisais un CéDéRom (non plus #Hortefeux)  avec des menus en mode DOS qui permettaient de lancer tous les jeux avec tous les émulateurs, de l'arcade à la SNES, de la GameBoy à la NeoGeo (I talk SNKglish)... Des centaines d'heures à télécharger tout ça, tester, ranger, graver... De la pure folie :) Un full time job. Un peu comme twitter aujourd'hui (ah ouais, grillé là un peu).

Alors comme ça je vais vous parler un peu de ceux que j'ai kiffé le plus, qui m'ont apporté de la Joie :)

En vrac, comme ça, je pense à Snes9X, ZSNES, Raine, MAME, Retrocade, UltraHLE, Epsxe, Stella, NeoRage, Kgen98, Genecyst...

Le tout premier que j'ai découvert et qui m'a tout de suite envoûté fut donc Snes9X. Une belle interface graphique en mode X (320x240) sous DOS, une compatibilité bluffante avec presque tous les jeux, terrible ! J'ai ainsi pu assouvir ma soif de FinalFantasy avec FFIV, FFV et FFVI. Quel grand kif mes aïeux ! Tout ça tournait très correctement sur un Pentium 133, le standard moyen de l'époque, c'était bien cool. Quand j'ai essayé de faire tourner Snes9X sur un 486DX2-66, ça s'est mis à ramer, alors j'ai cherché un émulateur plus optimisé... Et j'ai découvert une véritable perle : Zsnes. Tout bien codé en assembleur, fait avec amour, la grande classe !



Tous les jours je consultais les news de l'émulation et les "Rom sites" pour me tenir au jus et télécharger de nouvelles copies de cartouches (édioukésheune peurpoze one lit off Corse). Le meilleur site de news était sans conteste JoseQ's EmuViews, qui 1/ recensait toute l'actualité 2/ permettait de télécharger les ROMs de MAME et 3/ être même au courant des nouvelles officieuses en direct des développeurs et des dumpers de ROMs (Le Rumor Mill). Il y avait aussi un site super avec une BD faite en 3D studio sur l'émulation et ses fans, qui était super drôle, c'était le site "Overclocked.org". ça LOLait excellement sur ce site. Il y avait bien sûr le site RomNation, pour les nouveaux dumps, et "The Dump" le site du célébrissime Harry Tuttle (http://www.kinox.org/interviews/int_019.html)... Toute une époque j'vous dis !


 Après l'émulation Snes (Super Nintendo) je me suis intéressé à MAME, parce que quand-même c'est bien joli tout ça mais faut pas perdre de vue les choses importantes : retrouver les jeux qu'il y avait à la cafét' de Montalivet quand j'étais gosse, à savoir Galaga, puis Track and Field (les jeux olympiques), dans lesquels j'ai englouti tout plein des pièces de 1 franc :)). Pour ça il y avait un excellent émulateur qui en était à ces débuts, j'ai nommé MAME. Ouaaaah, trop génial !!! Jouer à GALAGA comme en vrai, à PacMan, MoonPatrol, toussatoussa là encore énormissime kif de gamer ! MAME a connu un développement exceptionnel en termes de jeux couverts, plus de 5000 jeux et variantes à ce jour je crois.
Au début de MAME, il n’y avait pas d’interface, il fallait lancer le jeu en ligne de commande, avec le nom du jeu en paramètres, en ayant préalablement mis les Rom dump du jeu au bon endroit. Pas forcément très convivial, mais ça s’adressait avant tout à des geeks. Le créateur de MAME, Nicola Salmoria, a initié un travail fabuleux avec ce projet. Il a aussi travaillé au décryptage des ROM de la génération CapCom System II (CPS2). Ces roms étaient chiffrées et il fallait d’abord les déchiffrer avant qu’un émulateur puisse les exploiter. En 98 il y avait des release de MAME avec des nouveaux jeux émulés quasiment toutes les semaines. Assez vite c’est devenu un très gros projet SoftWare et Salmoria était l’architecte global et le coordinateur de toute une cohorte de développeurs bénévoles. Tous les jours j’allais voir sur les forums s’il y avait des nouveautés côté MAME.


Dans la lignée de MAME, il y a eu un émulateur fabuleux, qui tournait aussi bien sous DOS que sous Windows, qui s’appelait Retrocade. Il y avait une interface fabuleuse, des animations de type écran à LED de flipper pour présenter chaque jeux, une pure merveille


 Et ça tournait sur un 486, c’était ultra-optimisé, du travail d’orfèvre. Je l’ai encore installé sur un Toshiba Libretto sous W95 (pentium 75, 16Megs de RAM…).








Lire une interview d’un des principaux développeurs de Retrocade ici :


Ce que j’ai pu graver comme cédéroms ces années là… des compils de ROMS, classées par machines, les N64, les SNES, les MAME… C’était dantesque !


Peu après MAME, est né NéoRage… C’était le tout premier émulateur de console NeoGeo. NeoGeo, c’était avant tout des bornes d’arcade, mais aussi une console de salon pour les super-bourges (à 2000 francs le jeu minimum, fallait avoir de la thune quand même !). 

Pendant longtemps il n’y avait pas le son car les roms son étaient visiblement hardos à dumper et à déchiffrer. Mais ils ont fini par émuler tous les jeux NeoGeo, notamment ses mythique jeux de baston (série King of the Fighters et consors), et à la fin ils ont fait un truc magnifique avec une interface graphique aux petits oignons. Qu’est-ce que je me suis éclaté sur la série Metal Slug grâce à cet émulateur, nom de Zeus !





On a aussi eu l’excellent Raine, dédié aux jeux de machine d’arcade. Basé sur les machines d’arcade Taito et Jaleco, il a commencé autour du jeu Rainbow Island (Raine = Rainbow Island Emulator), pour finir avec quelques 160 jeux, parmi les meilleurs de l’histoire du jeu d’arcade. Beaucoup d’options de paramétrage et des performances hallucinantes… J’ai aussi beaucoup testé ses releases successives.


Un peu plus tard sont arrivés les émulateurs Playstation (PSX). Là aussi ça a été intéressant car la PSX n’était pas si facile à émuler et plusieurs projets se tiraient la bourre… Il y a eu PSEmuPro, EPSXE, Bleem (qui voulait devenir un produit commercial mais s’est planté car Sony n’était pas vraiment d’accord…), YAPE (Yet Another Playstation Emulator)… Là aussi on suivait les releases et les listes de compatibilité des uns et des autres au fur et à mesure de leur développement. Je me souviens du tout début, la première fois que j’ai lancé GTA version démo pour playstation sur mon PC, (un pentium 133 à l’époque), c’était vraiment trippant. Le pionnier était donc PSEmu, devenu après PSEmuPro.

Enfin, il y a eu l’émulateur de Nintendo64, le tout premier, baptisé UltraHLE. Là encore ce fut le choc : voir tourner Zelda Ocarina of Time sur un PC, alors que la N64 était le top des consoles, c’était un grand kif quand-même. En fait ce putain d’émulateur faisait non pas une émulation bas niveau, mais une décompilation et une reconstitution dans le mode du langage de développement de la console, avec les DisplayLists et tout, ce qui permettait des bonnes performances en mode interprété, même sur nos petites machines. D’où son nom, HLE pour High Level Emulator. Depuis il y en a eu de plus complets et de plus ouverts (Ultra HLE utilisait Glide, les librairies mini-GL des cartes Voodoo 3DFX) come Nemu, mais c’est Ultra HLE qui est resté dans l’histoire, celui qui a fait le méga buzz !

Depuis quelques années mon engouement a un peu baissé, même si je peux jouer à la SuperNES sur mon Palm et aux jeux PSX sur mon SmartPhone HTC Tytn (toujours FFVII sous la main, rester sérieux !), et même si j’ai plein de programmes peu homologués sur ma PSP crackée à mort... Et puis ces dernières années il y a eu un peu moins de nouveautés dans le monde merveilleux de l’émulation, il faut bien le reconnaître, le move s’est un peu essoufflé. 


Mais récemment, je me suis renseigné par curiosité sur l’émulation PSX 2, et figurez vous qu’il y a truc qui tient vachement le pavé, dispo sur le net : il s'agit de PCSX2. Je l'ai testé avec FFX, sur mon bi-pro Xeon, et franchement, redécouvrir FFX en 1600 par 1200 de définition, oulala Mamamia, comment ça déchire sa race ! Allez, quelques petits screenshots pour vous donner envie :



















Bon, je me rend compte que j'ai oublié Stella, l'émulateur de console ATARI 2600, des émulateurs ColecoVision, Intellivision, TurboGraphixPCEngine, Amiga, Comodore64, ZX Spectrum... Je crains que ce post n'en appelle un autre. Mais là si je continue je vais vous saoûler alors on va s'en tenir là hein ? Allez, jouez bien, et si vous avez des questions n'hésitez pas à me contacter parce que je connais un petit peu ce rayon là  :-)

dimanche 1 août 2010

Mes fabuleuses consoles, mes bioutifoules ordis !

Les débuts


Comme nombre de mecs de ma génération, je suis tombé tout petit dans les jeux vidéo. Quand j'étais vraiment chtiot, c'était le tout début. Mes parents avaient acheté un pong de salon  qui se branchait sur la téloche. C'était très basique, évidemment, un trait figurant la raquette et un point qui rebondissait d'un bout à l'autre de l'écran. Les deux manettes étaient constituées d'un cylindre avec un bouton à tourner pour faire aller la raquette vers le haut ou le bas. C'était déjà super fun car nouveau ! Je devais avoir 7 ou 8 ans à cette époque là.

Vint ensuite La console à cartouches : l'Atari 2600. Révolution ! On pouvait acheter des jeux (hors de prix, entre 150 et 250 francs !) qui se branchaient sur la machine. Les molettes étaient remplacées par deux vrais joysticks, avec un bâton orientable et un bouton de tir. Les jeux d'arcades des cafés étaient plus élaborés, mais on retrouvait un ersatz sympathique chez soi à partager en famille ou avec les amis. Chez moi on était tous bien branché... Je me rappelle que mon oncle avait étudié à fond dans TILT les parcours à suivre au PacMan pour semer les fantômes à tous les coups et franchir les niveaux successifs.






 Je me rappelle aussi que comme c'était la seule console, nombre de mes potes en avaient une aussi et qu'on s'échangeait les jeux... J'étais en classe de cinquième je crois à l'époque de l'âge d'or de l'Atari 2600. Ma spécialité, c'était Astéroids, celui ou vous avez un petit vaisseau au milieu de l'écran, qui doit dézinguer des astéroïdes qui arrivent de tous côtés. Quand vous en touchez un, il se sépare en deux plus petits. Au bout d'un moment le rythme devient effréné, ça va évidemment de plus en plus vite. J'ai passé aussi pas mal d'heures sur River Raid, SpaceInvaders, BurgerTime, Q*Bert...





L'Atari 2600 a dominé le marché pas mal d'années, jusqu'à l'arrivée de consoles plus élaborées : il y a eu l'intellivision de Mattel, puis la ColecoVision de CBS. Je ne les ai pas eu celles-ci, mais j'ai beaucoup joué sur celles des copains. La ColecoVision représentait vraiment une avancée graphique sur l'Atari, c'était un sacré kif !


Puis il y a eu la Sega Master System... Je devais être en 3eme ou seconde. On était toujours en huit bits, mais avec beaucoup de hits de l'arcade plus proche des originaux (Shinobi, un must, hang-on) , et avec des purs hit originaux (Kenseïden, Alex Kidd, Sonic...) qui m'ont scotché grave.

Premiers contacts avec un ordinateur familial (parenthèse cromi)

C'est aussi à ce moment là que sont sortis les premiers ordinateurs familiaux qui se branchaient sur la TV. Pendant des mois j'ai acheté toutes les revues sur le sujet, étudié et comparé patiemment les prix, en attendant Noël et peut-être la possibilité d'en obtenir un. Le mec plus ultra qui nous faisait tous rêver mais était clairement au dessus de mes moyens était bien sûr l'Apple II. C'était LA Rolls, le graal du geek. Je regardais comme ça pour baver mais il était nettement hors de portée. Moi je lorgnais plutôt du côté du TI994A, du commodore 64, de l'oric et consorts. Il y avait aussi le To6, le Mo5, l'Alice... Et bien sur monsieur Sinclair avec son ZX 81 et son successeur le ZX Spectrum.

Mon budget me permit pour Noël, de faire l'acquisition d'un fabuleux Spectrum 48k : magnifique clavier minuscule en gomme pourrite "made in Sinclair", 16k de ROM et 48k de RAM. Fournit avec une magnifique interface série nommée à l'époque RS232, ce qui faisait beaucoup plus Geek. J'ai donc commencé à écumer les revues spécialisées et à recopier des listings de jeux afin de comprendre et apprendre les arcanes du basic résident. L'idéal pour apprendre à programmer sans procédures, en mode spaghettis dégueulasse. On sauvegardait le programme tapé pendant des heures (gare aux fautes de frappe, et pire, au coup de pompe dans la prise qui anéantissait en une seconde des heures et des heures de frappe laborieuse #kill-la-petite-sœur-forcément-coupable)




J'achetais quand ma bourse me le permettait, le magazine "hebdogiciel" qui avait plein de beaux listings en basic spécialisé de chaque machine (car le basic se voulant universel chacun avec sa version propriétaire hein, faut pas déconner non plus)

Il fallait quand-même avoir la foi ou un moral en acier trempé pour coder là dessus : pas de gestion de sprite. Tu pouvais juste redéfinir les matrices de pixel de l'alphabet et les assembler artificiellement pour faire des pseudo sprites. Pas d'accès simple à l'assembleur, tu pouvais juste aller lire ou écrire à une adresse mémoire avec les instructions peek et poke. Je me suis donc fadé le manuel et des tonnes de listing pour digérer ce  p... de basic et acquérir de mauvaises habitudes de programmation. Pour sauvegarder il fallait brancher un magnétophone à cassettes, lancer l'instruction kabbalistique adéquate, faire 'record' au bon moment, et attendre que le magnéto enregistre pendant quinze minutes le bruit de porteuse qui sortait du cromi tout en priant Dieu (ou plutôt Belzebuth ou Niarlatotep) pour que ça marche... Et parfois si on avait été un bon pratiquant, la magie opérait. Mais c'était le niveau de fiabilité de la danse de pluie quand même à peu près.

Quelques années après a commencé l'ère de l'IBM Pc. Cela a été une étape importante dans la standardisation et le pourrissement de l'informatique personnelle. IBM avait sous-traité la préparation de l'OS a une startup nommée Microsoft, une chtite startup. Le mec qui s'en occupait, un ptit djeuns, avait racheté le code à d'autres types... Bref je vais pas trop faire du sous-wikipedia de strapontin hein. Vous connaissez aussi bien que moi l'histoire de bill Barrière et de ses fenêtres (TM).

Tout ça pour dire que mon daron qui était un monsieur qui ne plaisantait pas avec l'informatique, après avoir acheté des PC pour sa boite, décida d'en acheter un pour la maison... Il opta pour un magnifique XT doté de 256k de RAM, d'un disque dur de 20 megas (la classe), et d'un écran EGA 16 couleurs, imprimante matricielle haute des finitions (pardon)... Une vraie Rolls. Beaucoup moins puissante qu'un Amiga mais une Rolls. J'ai du negocier et donner des gages de sérieux pour y avoir accès. Quand il a vu que je modifiais le texte des jeux avec l'éditeur hexadécimal de Norton Utilities je me rappelle que le reup' a flippé et regretté de m'avoir autorisé l'accès à la bête. Mais c'était trop tard je commençais a dompter le machin mieux que lui. J'avais changé le texte du flipper Night Mission et celui de Digger. En mettant des gros mots dedans bien sur, car adolescence boutoneuse oblige.




C'était pas franchement la gloire l'Ibéhaimepécé mais au moins la sauvegarde d'un fichier sur disque dur ou sur une biscote cinq pouces un quart durait pas des plombes. Net progrès. Et surtout, seul vrai plus qui n'a jamais été surpassé depuis, son légendaire clavier mécanique, dont la frappe était comparable à celle d'une machine à écrire Brother de la fin du du dix neuvième siècle. un vrai bonheur, et là je suis sérieux.

Retour aux consoles


Ensuite il y a eu naturellement la MegaDrive... La grande sœur. Et oui, j'étais Sega moi, j'étais pas encore tombé dans la marmite aux jeux de rôles... Donc pour moi les meilleurs jeux étaient clairement du côté de M'sieur Sega. J'ai donc fait l'acquisition d'une excellente console 16 bits (je devais être en terminale à l'époque). Really top-moumoute aussi la MegaDrive. Un grand bonheur... Avec toujours Sonic plus vitaminé que jamais, Chelnov, excellente adaptation de la version Arcade (à laquelle je me suis longuement entrainé dans le bar-tabac de mes parents). On a eu également sur cette console bien vitaminée les excellents : Golden Axe, Thunder Blade, Space Harrier, Zaxxon (qui existait déjà sur la Colecco quelque années avant). Et surtout Thunder Force IV, un des meilleurs shooter horizontaux de tous les temps !!!


La MegaDrive !

Un p.. de boss dans Thunder Force IV

Après il y a eu la PS2, que j'ai acheté, mais là c'est de l'histoire presque récente...